La notion et l’accusation de crime contre l’humanité constituent, dans le dispositif d’agression appelé parfois guerre moderne ou guerre totale, une pièce complémentaire de la notion (et des faits) de terrorisme.
Depuis le commencement du soi-disant « Printemps arabe » en Syrie, l’accusation de crime contre l’humanité revient de manière sempiternelle dans la bouche des dirigeants français envers le chef légitime de l’État syrien. Cette accusation, réapparue tout récemment sous la forme de l’ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet de Paris [1], signe, en réalité, la culpabilité des Français dans l’agression inqualifiable dont est victime le peuple syrien. Car l’offensive terroriste, dont la France est complice depuis le début de manière revendiquée [2], est coordonnée à l’accusation de crime contre l’humanité. Cela tient à la logique juridique d’un droit international nouveau, depuis l’intérieur duquel l’agresseur mondialiste dirige son offensive. Il est devenu urgent de dénoncer la cohérence d’une force brute qui avance sous le couvert d’un Droit, droit international, et aussi droit constitutionnel et droit pénal, qu’en réalité elle usurpe et qu’elle a complètement subvertis. C’est à cela que s’attachent les lignes qui suivent. Lire la suite